SYLVIE PICHRIST

DSCN5679

BIO

15     Résidence et exposition KCCC prévue en juin en Lituanie (Klaipeda)
14     Actus 2 organisé par Béatrice Didier à La Fabrique de théâtre à Frameries avec Elisa Andessner (Austria) – Marita Bullman (Germany) – Alice De Visscher (Belgium) – Béatrice Didier ( Belgium) – Rachel Echenberg (Canada) – Maud Hagelstein (Belgiu) – Lala Nomada (Mexico / Germany) – Evamaria Schaller (Germany / Austria ) Présentation d’une performance solo.
13    Minute papillon, dans le cadre de la 9 biennal ARTour – art contemporain et patrimoine « LES METAMORPHOSES », Hainaut. Ecomusée du bois du Luc.
12     Regarde –toi comme je te ressemble, Le Manège, Espace des possibles, Mons, Belgique (installation et performance)
09    La vitrine de Sylvie, Vitrine d’interventions plastiques, Binche, Belgique.
09    La Cérémonie. Galerie Arte Coppo, Verviers, Belgique.
09    Le dé d’or. Galerie Bortier, Bruxelles.
04    Ma voie lactée. Grange du Faing, Jamoigne, Centre d’Art Contemporain du Luxembourg belge

FRAME OF RESEARCH

Guidée par les principes de métamorphose et d’interaction, Sylvie Pichrist transforme et transcende les objets et les habitudes du quotidien. Les objets usuels, les vêtements, les accessoires créés et, ou, transformés puis réutilisés, font écho au cycle perpétuel de la vie en constante mutation.

Hormis le fait de nous convier à ses installations, à ses workshops ou à ses « cérémonies » (techniques mixtes) l’artiste utilise la photographie et la vidéo comme supports à une démarche fictionnelle qui s’illustre également à travers la performance ou la mise en scène d’elle-même et la confrontation avec « l’Autre » avec ironie et poésie.
Les traces d’une société déshumanisée et de sa perte de contact avec la nature sont les “toiles de fond” de ses “mises en abîme” subtiles qui soulignent la fragilité et les limites de l’interaction avec “ l’Autre ”.

« L’artiste sera en résidence durant un mois aux Bains Connective. Guidée par les principes de métamorphose et d’interaction, elle s’y livrera à de nouvelles explorations (fictionnelles, spatio-temporelles, relationnelles), avec sa petite table comme principal accessoire et le déséquilibre comme personnage récurrent. » Sandra Caltagirone. (L’art même)

Photo de Nicola Lejuste à “In Vitro, Recyclart, septembre 2013, curators : Frédéric Rolland et Chrystel Mukeba”